Seul...[Libre]

Sachino n'aimait pas se plaindre , après la mort de sa mère , il a commencé a reprendre sa vie , son père est allé à Tokyo sa ville natal pour le laisser seul , dans son manoir a Krakura . Son père l'aimait , mais il était choqué de la mort de sa femme, il voyagea alors en demandant à Sachino si il voulait l'accompagner , mais revenir a Tokyo , réveilla dans le cœur de Sachino des douleurs et des tristesses,il fallait mieux rester ici entre ses amis , pour l'encourager encore plus,l'aider a passer cette étape très sévère de la vie !
Son ami Ichigo en tout cas,formé sa famille pour le moment,il ont tout les deux cet étrange pouvoir de voir les âmes , ce qui fait de Ichigo un frère pour Sachino , les deux sont des amis depuis l'arrivée de Mister Kurisai,en plus ils ont le même age , 15 ans,ils étudient ensemble dans le même lycée, dans la même classe,dans le même quartier !
Il savait que quoi que ce soit Ichigo ne serait pas un vrai frère , mais un proche ami , un très proche ami , quoi que ce soit il serait ici a coté de lui .

Ce jour était très froid , la pluie tombait il y a quartes heures sans cesse , si ça continue comme ça , ça sera une catastrophe .Le manoir de Sachino était de plus en plus froid , le pierre des couloirs est comme du glace , même dans son lit , Kurisai n'a pas pu s'empêcher de sortir de la maison,dans les rues,il aimait tellement la pluie qu'il voulait sortir avec de simples vêtements devant la maison , il enfile juste un jeans une chemise avec un D&G dans le milieu Xd.Il sort de la maison avec une parapluie ,mais il tarde pas a l'élever de sa tête il se mit alors sous la pluie directement , pensant a sa situation , cette pluie lui reprend des souvenirs très sensibles,sa mére qui l'emmener de l'école sous la pluie à Tokyo , sa méme ainsi aimait se poser directement sous le ciel quand la pluie tombait . Quelle sensation divine de se souvenir de quelqu'un de cher pour vous , se souvenir des moments avec lui , et la vie que tu passait avec lui , content , que tu méne une ie heureuse et passainet votre temps a discuter et rire , peut étre se disputer un peux des avis .

Quand Sachino resta deux minutes en dehors de la maison devant les marches d'escalier de marbre de la maison , la neige commençait a tomber et le pluie se stoppa , et le sol ne tardait pas a se couvrir d'une couche blanche Immaculé , Mille et une idée passaient dans la tête de cet adolescent , qui s'assois sur la neige . il n'était pas du genre à vouloir s'attirer la compassion d'autrui, ni à toujours aimer se faire remarquer. Non, il n'était vraiment pas ainsi. A vrai dire, il était tout le contraire. Renfermée, solitaire et rêveux. Ses peines,ses douleurs, Sachino les gardait pour lui, bien enfouies derrière son cœur. Quelque part où personne ne risquait de les retrouver. Personne, à part lui et Ichigo. Et, malgré tous ses efforts, il ne parvenait pas à les oublier. Parfois, quand il errait, seul, le long de la route, Le jeune homme se sentait assaillie, violée, trahie par ses propres peurs. Mais pourquoi devrait-il en parler ? Je l'ai déjà dit. Il n'aimait pas se plaindre. Et il partait du principe que chacun, dans sa vie, a mal un jour ou l'autre. Alors pourquoi importuner les autres, alors qu'ils souffraient déjà ? Il n'avait pas d'instinct malsain. Du moins, pas à ce qu'il sache. Mais parfois, il se posait vraiment des questions. Il arrive un moment où la douleur est telle qu'elle vous transperce, et l'impression qui en résulte est tout, sauf agréable. Dans ces moments-là, on est toujours -trop- seul. Mais ça, il faisait avec, et depuis longtemps déjà.

Inspirant l'air glacé de la nuit, il sentit les larmes lui brûler les yeux. Il y avait bien longtemps qu'il ne s'était pas abandonnée au chagrin. Il s'y était toujours refusée. Vouloir paraître fort pour l'être vraiment, telle était sa loi. Loi qu'il s'était imposé depuis un certain temps déjà, mais qui n'apportait pas les résultats tant attendus. Bien au contraire. Il se sentait encore plus mal. Sourires faux, rires creux, regards vagues. Au fond, il s'y habituait. Cette peur, cette douleur qui la rongeait lui appartenait, à lui, et à lui seul. Il ne voulait pas l'apprivoiser. Il voulait la chasser, la quitter, l'abandonner, et être sûr qu'elle ne reviendrait jamais plus la hanter. Mais voilà. Dans la vie, on a pas toujours ce dont on rêve. Et Sachino n'était pas une exeption à cela.
D'un revers de main, il essuya ses jolies yeux humides, et observa la rue, le coeur vide, le visage fermé. Il était tard, mais il n'aurait pas su dire l'heure exacte. Il ne vivait pas avec le temps. Du moins, pas le temps qui passait. Il avait son propre monde, dans lequel chaque seconde semblait durer une éternité. Au fond, peut-être que c'était vrai. Peut-être que l'éternité était à ses pieds. Il n'en savait fichtrement rien.
Sachino soupira et frissonna, le vent froid la pénétrant de toute part. Il croisa les bras et les serra de toutes ses forces, espérant ainsi se tenir chaud. Vainement. Il était sorti ainsi, en pleine nuit. Oui, d'accord, un pull. Mais contre le froid, mordant et vicieux, ce n'était pas très rassurant. Il ferma les yeux, tentant de se calmer, de dompter la terreur qui lui nouait le ventre. Mais plus elle essayait, plus cette horreur se dérobait devant lui, sans qu'il puisse la toucher et l'arrêter. Réouvrant les yeux, il regarda la forme ronde et blanchâtre de la Lune dans le ciel, et une larme roula sur sa joue. Non ! Il n'était pas si faible que cela. Il devait lutter, se battre, mordre la vie avec tant de rage qu'il triompherait. Voilà ce qu'il devait faire. Mais il n'en avait pas l'envie, pas la motivation. Aussi se laissait-il aller, sur ce doux chemin qui était la perdition.

Le jeune homme s'approcha lentement d'un banc, puis s'y affala, avant de s'étirer de tout son long. Son pull remonta légèrement, dévoilant un carré de peau nu, qu'il laissa quelques instants à l'air libre, laissant le froid le piquer. Au fond, ce n'était pas si désagréable que cela. Il y trouvait même un certain réconfort, à dire vrai. Un mince sourire étira ses lèvres rosées, sourire qui s'effaça presque aussitôt. Pas de larmes. Mais pas de sourire non plus. Il regrettait de ne pas avoir pris sa guitare avec lui. Il aurait au moins pu jouer sa peine, la laisser s'envoler vers les cieux, et danser avec les Anges. Mais il n'y avait pas pensé, aussi sotte soit-lui. Que voulez-vous. La perfection, ce n'était certainement pas lui. Il en était bien, bien loin. Trop loin pour certains. Mais il s'en foutait, des autres. Il n'arrivait pas à se gérer lui. Comment pourrait-il gérer les autres ?

Sachino bailla, et se passa une main dans les cheveux, alors que ses yeux s'habituaient à la pénombre qui l'entourait. Il se calla bien sur le banc, les bras reposant sur le dossier, la tête renversée en arrière. Il contemplait l'immensité nocturne, comptait les étoiles qui s'offraient à lui. Chacune d'entre elle portait un fardeau. Le sien, c'était lui-même. Il avisa une grande étoile, plus brillante et plus imposante que les autres. Peut-être était-ce lui, qui veillait sur lui. Dans ce cas, il devait être inquiet. Mais pas autant qu'elle.
il ferma les yeux une seconde, et respira lentement, se forçant à se calmer. Il avait la désagréable sensation d'être épiée au coeur de la nuit. Des frissons glacés lui descendirent le long de la colonne vertébrale, alors qu'il réouvrait les yeux. Croisant ainsi le regard étrange d'un inconnu, à quelques millimètres seulement de son visage renversé en arrière du banc. Il ne dit rien, pas un mot. Le souffle simplement coupé. Ses vairons ne cillèrent pas, se fichant au plus profond de ceux de cette personne de la nuit. Il aurait voulu parler. Lui demander son nom, pourquoi il était ici, en pleine nuit, seul. Mais rien ne vint.

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Kiosuké courait, il avait entamer un course folle en suivant un hollow. Pourquoi ne fais t’il pas de shun po, il à une certaine technique pour appâter un hollow. Il faut juste de l’entraînement physique et savoir courir vite, très vite. Kiosuké continuer de courir, voyant un chemin sans fin se dresser devant lui. Pourquoi pleuvait il en ce moment, c’était toujours pareil, il arrivait toujours sous la pluie, et en pleine nuit. Il n’avait jamais de beau temps quand il arrivait a Kurakura. Il détester toujours cela. En plus de la pluie, la neige commencer arriver. Kiosuké s’arrêta quelques secondes et le froid commençais alors a le morde de partout. Il se remit a courir. Au bout de plusieurs autres km, il s’arrêta et souffla. Être shinigami ne l’empêcher pas du tout d’être essoufflé et de montré des signe de fatigue.

C’est la que ça technique entrait en jeux. Il fit semblant de s’écroulé sur le sol comme quelqu’un de presque mort. Le hollow apparut et sourit. Pour lui, c’était un festin de choix. Kiosuké sourit et fit un shun po derrière celui-ci et le trancha en deux. Il avait enfin finit sa mission. Il chassai tout les jours, sans faille tout les hollow et il les tuait a chaque fois. Il allait rentré quand le détecteur de la soul society commença a indiqué une quinzaines de hollows. Kiosuké poussa un soupir, encore des hollows de basses puissances. Ca commencer fort a le faire ch***. Fit un shun po jusqu’à la zone dite « à risque ». Il aperçu les hollows et poussa un second soupires.

Kiosuké descendit du toit où il était et les hollow le vire directement. Il disait que jamais il ne pourrait les battre tous en même temps. Kiosuké dégaina avec finesse son Zanpakutôh et le brandit devant lui. Son reiatsu émana de son corps, faisant fondre la neige autour de lui. Il cria la formule de son Zanpakutôh et, il se transforma en masse d’arme. Kiosuké avait toujours sont visage sans expression et attaqua les hollows un par un. Au bout de quelques minute, il était étaler, mort. Kiosuké fit revenir son Zanpakutôh a sa forme initiale. Il marcha quelques minutes et sentit un assez grand reiatsu. Il se placarda contre un mur et baissa son reiatsu au maximum. Il jeta un petit regarda et vit alors que ce n’était qu’un humain. Il s’interrogea , qui était il et comment avait il obtenu se potentiel ? Kiosuké sortit de derrière son mur et vit alors le jeune homme, sur un banc. Le vice capitaine lui dit :

« -si tu as un reiatsu si puissant, tu doit pouvoir me voir n’est ce pas ? »

Kiosuké savait qu’un personne possédant un potentiel aussi élevait pouvait forcément le voir, l’entendre le toucher etc … Le vice capitaine de la seconde division s’avança vers le jeune homme, toujours le visage impassible, ne laissant passait aucune émotions de son corps. Le froid commencer a torturer Kiosuké, mais il ne faisait pas paraître.

D'après sa mémoire, qu'il trouvait d'ailleurs assez bonne, l jeune homme ne l'avait jamais vu. Jamais croisé, jamais aperçut. Oh, il avait peut-être entendu parler de lui, mais il raya bien vite cette possibilité. Il était restée longtemps enfermé, seul chez lui, aussi n'était-il pas au courant des nouveaux arrivants et de tous les shinigamis dans Krakura. Et puis, en fait, il s'en fichait pas mal. il n'était pas ainsi, à se demander quelles étaient les nouvelles, pour pouvoir ensuite jaser sur tout le monde. Non, vraiment pas du tout. Et c'était sans doute cela qui faisait qu'il n'avait pas beaucoup d'amis, ici. Il n'aimait pas particulièrement s'immiscer dans les conversations, et son naturel sauvage ne lui offrait pas franchement mondanité et respect. Cependant, il savait bien qu'un jour, il devrait faire comme si. Comme si il s'y intéressait, comme si il était sociable et abordable. Histoire de connaitre du monde. Et peut-être même de se faire connaître, qui sait. Ce n'était pas en restant dans l'ombre, toujours en retrait, que sa musique se ferait entendre, c'était certain.

Mais, au final, il trouvait en sa solitude plus de réconfort qu'il n'en avait trouvé auprès des gens. Exepté Ichigo, bien sûr. Il avait eu le don de l'aimer comme un frére dès le premier coup d'oeil, et avait lu en lui comme dans un livre ouvert. Il était bien naturel qu'il lui fasse confiance, et qu'il se soit éprise de lui par la suite. Qui aurait osé imaginer une autre fin ? Ce n'était pas encore une Happy End, mais c'était un début. Il se voyait bien entourné de quelqu'uns. Mmmh. Le rêve était en effet chez lui quelque chose de flagrant, voire plus. Il se prenait parfois à s'imaginer des montagnes, pour, au final, être totalement déçue par la tournure des chose et le cours des situations qu'il devait affronter. Au moins, avec lui, il n'était encore jamais été restée sur sa faim. Et il espérait qu'Ichigo continuerait encore d'étre a coté de lui.

Sachino cligna des yeux, sortant de sa torpeur. Il ne s'était même pas apperçu qu'il tombait des cordes, tellement il avait été plongée dans ses pensées. Un sourire illumina son visage, alors qu'il regardait le ciel, et les longues trainées de pluie qui en tombaient, s'abattant sur elle avec force. Il adorait la pluie. Il la trouvait douce, agréable, et puis, c'était avec elle qu'il avait connu les meilleurs moments de sa vie. Cela pouvait paraitre étrange, mais il en était ainsi. Ce contact froid, presque glacé... Oui, il aimait bien. Le bruit rassurant des gouttes de pluie se brisant au sol avait sur lui un effet presque magique, qui le mettait dans un état de décontraction et d'aise. Même si il souffrait. Il devait avant tout apprendre à tourner la page, et à grandir. Oui, il pouvait encore, et toujours grandir, il en restait persuadée, au fond d'lui-même. On ne cesse jamais d'apprendre, et il était en plein apprentissage. De la vie.

Le jeune homme entrouvrit légèrement la bouche, alors que l'inconnu virait au rouge intense, ce qui accentua un peu plus son sourire énigmatique. Oui, Il allait bien. Du moins, physiquement. Parce que moralement, il n'était plus que de tous petits morceaux d'âme, broyés, noyés par des torrents de chagrin et de perdition. Mais ça, il ne pouvait pas le savoir, et il ne tenait pas particulièrement à faire part de ses malheurs à un pur étranger. Même si on dit que parfois, le fait de se confesser et de parler à un inconnu soulage bien plus que si cela avait été une personne connue. Il n'avait encore jamais tenté le coup, et il savait qu'il ne le ferait pas de si tôt, ça non. Il n'en était pas non plus à ce point là. Quoique...

Sachino se redressa, et grimaça au contact gelé de la pluie contre son fin t-shirt,c'était une personne étrange s'habillant avec des vétements assez bétes , Hein ? on dirait des vétements de ninjas , et il dit si il le voit , bien sur que ouii , il n'est pas invisible ?. La prochaine fois, il se couvrirait car ca fat froid !. D'un mouvement habile, il se leva, et s'étira, avant de se passer une main dans les cheveux, que la pluie avait collé à son visage. C'était joli. il se retourna et obervsa un moment le visiteur nocturne, sans un mot. Il finit par arquer un sourire et hocher lentement la tête, tout en lui répondant :

- Oui, je peut te voir , bien sur !

Sachino s'autorisa l'ombre d'un sourire, et regarda autour d'lui, la rue déserte. Mais divin. La pluie traçait son œuvre dans ce paysage qu'il appréciait beaucoup, mais pas autant que sa mére. La reverrait-il un jour, au fond ? Il n'en était plus trop sûre... Il n'avait plus aucune raison de penser a ca. Alors qu'ici, à Karakura, Il s'était trouvé des gens. Des appuis. Des amis. Une nouvelle vie. Sachino soupira inaudiblement, et planta ses grand yeux bicolores dans ceux du jeune homme, avant de lui demander, d'une voix étrangement douce et chantante, ou perçait tout de même une pointe de curiosité, qui donnait à sa bouille un air quasi enfantin

- Que faites-vous ici ? Il est tard. Et il pleut...

Il ne connaissait pas grand monde qui aimait la pluie. A part lui-même. Mais peut-être qu'au moins, il apprendrait quelque chose. Il n'était pas au bout de ses surprises, et c'était tant mieux, non ? Même si la sociabilité n'était pas son point fort, Il était un riche. Et avait soif de connaissances, et de rencontres inopportunes. C'est qui cette personne habiller étrangement ?

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Kiosuké regarda le jeune homme d’un air bizarre. Il avait un potentiel puissant, mais ne semblait en aucun cas connaître les shinigamis. Pourtant, il semblait calme et serein, ainsi que exclu de la société. Kiosuké aussi avait vécu ça, mais, il avait fait tout ce qui était en son pouvoir pour essayer de s’intégrer. Après la mort de sa mère, il se referma sur lui-même, ce qui le rendit encore moins sociable qu’avant. Il avait enduré moqueries, persécutions et toutes sortes de choses horribles que la vie lui avait réservé. Après la mort de son père, il entreprit des cours de défense et pouvait enfin se protéger contre le racket.

Le jeune homme ne se rendait pas compte de la personne qui se trouvait en face de lui, a vrai dire, il était perdu dans ses pensé et ne répondait a rien. Le vice-capitaine de la seconde division savait que de toute façon personne ne le connaissait et en plus personne ne pouvait le voir, ni le toucher, à part les shinigamis et apparemment cette personne. La neige se retransforma en pluie pour couler abondamment. Kiosuké commençait à avoir froid quand soudain, le garçon ouvrit enfin la bouche. S’ il répondait, ça voulait dire alors qu’il le voyait. Sa thèse était finalement vraie, cet humain était fondamentalement différent.

Kiosuké s’avança encore plus pour arriver enfin près du banc du jeune garçon. Celui-ci observait Kiosuké comme s’ il était une sorte d’extraterrestre ou je ne sais quoi. Kiosuké avait déjà provoqué cette réaction sur d’autres personnes comme Ichigo Kurosaki. Le vice capitaine de la seconde division allait répondre au jeune homme quand un hollow apparut devant eux. Kiosuké dégaina son Zanpakutôh et se précipita sur le hollow qui essaya de le trancher. Le vice capitaine fit un bond sur le côté et le trancha. Le jeune homme fit un pas en arrière. Avant même de faire quelque chose, le hollow n’était plus de ce monde. Kiosuké se rassit et répondit alors au jeune homme qui était toujours un peu sous le choc :

« -je ne sais pas si tu connais, mais je suis un shinigami, le vice capitaine de la seconde division. Je me nomme Ibizaru Kiosuké. Tu à un potentiel apparemment surhumain si je peux dire ça comme ça. Normalement, personne ne peut me toucher, me voir, m’entendre. A part les hollows, ces créatures, vois-tu, personne ne peut me toucher. Ce que je fais sous la pluie ? je venait de la soul society ,le paradis comme vous dites chez vous, je venais buter deux ou trois hollows pour me divertir, j’avais des insomnies. Et toi, qui es-tu pour être comme ça ? »

Kiosuké avait imaginé la possibilité qu’il soit un ami d’ Ichigo, ce qui expliquerait alors comment il avait obtenu un tel reiatsu. Comparer à Kiosuké, il n’était pas très fort, mais, comparé à d’autres shinigamis, il était vraiment très puissant. C’était un potentiel à développer, pour aider la soul society contre les arrancars.

Une longue étendue de neige, des réverbères éclairant tout ce qui se présentait aux yeux des passants de telle manière que tout dans la ville ressemblait à un gigantesque sapin de Noël, tel était le décor de Krakura en période hivernale. Partout, les gens se précipitaient en tous sens, désirant plus que tout le fait de trouver des cadeaux à offrir à leurs proches. La période était plus que propice aux petites attentions qui font toujours le plus grand plaisir à ceux qui en font l’objet. Pourtant, Noël ne faisait pas le bonheur de tous ; certains n’appréciaient pas cette fête qui faisait partie des coutumes depuis si longtemps déjà. Etrange selon vous ? Non, comme tout être varie par rapport aux autres, les aspirations de chacun sont différentes. Certains aiment faire la fête jusqu’aux petites heures du matin, se sentir aimé lorsqu’on leur offre un petit cadeau, réunir autour d’eux tous les gens qu’ils aiment et même tout simplement ressentir cet inégalable bonheur de dire en toute simplicité « C’est Noël ». D’autres au contraire trouvent les charmes de Noël dans le bonheur de contempler une nature blanche, de pouvoir se balader seul dans les parcs en entendant sous leurs pieds, le crissement de la neige ou encore de se réchauffer après ces balades avec un bon chocolat chaud. Mais il y en a d’autres qui, bien qu’en minorité, ne sont pas négligeables : ceux qui ne trouvent à cette fête aucun charme, considérant les réunions familiales comme ennuyeuses ou simplement préférant économiser leur fortune pour un dessein plus personnel. A Krakura comme partout ailleurs, tous ces gens se côtoyaient avec plus ou moins de tolérance selon les individus. Ainsi, Ichigo passerait probablement la soirée avec ses amis et Sachino était invité mais il est pas allé, le sourire aux lèvres et extrêmement heureux de pouvoir participer à une fête digne de ce nom.

Quand a lui , il rêvait vraiment , dans un autre monde , ou il faillit , encore rêver,des choses inexistences , et des choses impossible.Le mec lui parait , très étrange , comme il lui sentait dés le début , il le sentait , vu qu'il n'a pas regarder son visage , par curiosité , il retourne la tête lentement , pour ne pas montrer ce qu'il voulait faire , il vois en lui, Quelqu'un d'assez fou comme si c'était un carnaval de masques et de vêtements , c'est une moquerie ? Il lui transmis des sensations , très agréables,Sachino aimait lui faire connaissance vu qu'il a commencer la discussion , il n'a pas pu s'en empécher d'exprimer ses vœux , ses peurs , et ses problèmes .

La question la plus pratique , très amusant , voulais-il lui faire plaisir ? c'est possible ! Car il avait l'air très sympathique , pas comme lui , si triste et si sombre ,il lui lançait un regard si profond que qu'un océan , lançant un sourit sadique , qu'il voulais pas lancer , il mériter pas de discuter avec lui , c'est un garçon amusant , content sans problème pas son genre de mec fou,il voulait pas l'embêter et la rendre comme lui , fou et embêtant , il voulait lui garder son sourit qui montrait de tout son cœur qu'il est content , qu'il n'avait pas de problèmes .

En plus il joue a quoi ce mec , il dit qu'il est Shinigami ou quoi ? Et il dit qu'il vient du paradis ? c'est plutôt complexe pour une blague , et il a aussi trouvé un nom pour les paradis ' Sou Society ' c'est sans intérêts , ce mec vient juste passé le temps a se moquer des gens , débile !Sachino n'a trouvé rien a dire , ce mec est un peux bizarre . Mais ce n'était pas le cas , quand le jeune Kurisai le voit prendre son sabre et frappa un monstre que le jeune homme s'est habituer a le voir dans les environs , ce n'est pas normale , il joue surement a quelque chose avec ses mais , ou je ne sais pas quoi !?

Sachino se met debout puis il dit a son nouveau ami en souriant au coin des lévres :

-Tu crois que je vais croire cette complexe plaisanterie !

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