Asano no Bankai...

Le soleil était haut dans le ciel, je me sentais capable de tout aujourd'hui, j'avais étais promus Capitaine d'une division, je devais avoir la certitude de mériter ce niveau, ce grade qu'on m'offrait. Je tenais mon Zanpakutô dans ma main droite, ca faisait cinq ans que j'attendais ce moment si désiré, je me sentais prêt à réaliser mon Bankai, je ne sais même pas a quoi il pouvait resembler... Il fallait d'abord que je me remette en position, en forme. Je posais une main sur ma foide lame noire, je glissais dessus en hurlant:

«Enrage-toi Satubatsu !»

La lame devint de couleur rouge, elle brillait de milles feux, ce me piquait les yeux tellement que la lame était éblouissante. Je tremblais un peu d'inquiétude, mais je savais cette fois ce qui m'attendait lorsque mon Zampakuto serait en sa première forme. Mon avant bras et le manche de mon arme se soudèrent, ne formant qu'un! Je pouvais voir l'arme, maintenant que la lueur avait disparut, laissant place à cett couleur noire terrifiante qu'était la lame, le prolongement de mon bras... Je souriais, je tournais la tête voyant au loin plusieurs cibles potentielles, je scrutais de mes yeux verts les alentours, une branche était en train de surpomber le terrain d'entrainement, je souriais à l'idée que je venais d'avoir je lancais mon bras vers cette branche qui devait se trouver à plus de vingt mètres, la lame s'allongea en sifflant, elle rencontre rapidement la branche qui se coupa en deux morceaux bien distinct, j'allais maintenant évaluer la rapidité de mes coups. Je faisais tournoyer la lame et en quelques secondes la branche épaisse qui était en train de tomber se coupe en milles morceaux. Ne laissant que des copeaux d'écorces sur les carreux blancs de l'aire d'entrianement. Je sautais dans les airs faisant revenir la taille de mon Zanpakuto à taille standarde. Je ratérrissait avec agilité et grâce. Avec facilité exquise je terminais le stade de la pemière forme pour passer à la redoutable épreuve...

«Je vais y arriver...Je dois y arriver !»

Je tenais mon arme de shinigami à deux mains, lachant un cri de concentration, la lame sombre était parallèle à mon tronc. La poussière et la terre tremblèrent autour de moi. Puis des sifflements d'air apparurent, parvenant facilement à mes oreilles. Je concentrais encore et encore, mon énergie spirituelle ne cessait d'augmenter. Puis soudain, je le vis, l'homme qui detenait le nom de Satsubatsu, je le regardais dans les yeux, il me fit signe d'acquiècement avec la tête et l'équipement de Samurai. Soudain je rouvrias les yeux à la réalité, tout le terrain tremblait, un nuage de fumée se formait au dessus de moi, je me trouvais au milieu d'un tourbillon d'énergie qui émanait, cette émanation provenant de mon corps tremblant. Je lachais alors un cri, et posais une nouvelle fois ma main sur ma lame et murmura:

«Mors Satsubatsu !»

Malheuresement, j'avais dût mal m'y prendre avec mon énergie spirituelle, ma puissance n'était pas assez grande? Ou bien était-ce autre chose? Tant pis, je me devais de réussir cette tâche si je voulais vraiment être digne de recevoir le titre qu'on m'attribuait, le titre de Capitaine de la neuvième division, ce n'était pas rien pour un adolescent de mon âge. Capitaine... C'était fantastique d'obtenir ce grade, certain dans une vie n'arrivent même pas à devenir lieutenant. Il y a deux sortes de personnes, ce qui réussissent et ceux qui échouent. Par chance j'appartenais à la première catégorie citée. Lors de mon essai d'utilisation de mon Bankai, je n'avais réussis qu'à fissurer et à faire fortement trembler mon Zampakutô. Pourquoi des faillures apparaissaient quand ma puissance spirituelle augmentait énormement, et quand je donne la bonne citation? La citation... Et si je n'avais pas donné la bonne citation, et si j'y était presque, si c'était lié au même champ lexical, au même lexique que le mot "mors". Que fait-on avant de mordre? Que font les chiens? Je m'imaginais très bien un molosse noir, aboyant, puis montrant les crocs et provoquant un râle... Le grognement, mais oui! Je reprenais ma position, les jambes légèrement écartées, mes bras tenant fermemant le manche de Satsubatsu, puis je recommencais à concentrer mon énergie spirituelle. Le sol tremblait sous mes pieds, je pouvais voir tourner autour de moi un tourbillon de sable, de terre, de poussière, je lachais un cri de concentration, de râge puis lacha:

«Grogne.... Satsubatsu !»

La lame s'agita et se sépara en huit morceaux, le morceaut que je tenais dans mes mains était la forme d'un katana amincis à vue d'oeil, un katana de taille et de poins normal, mais qu'étaient devenus tous les autres fragments de lames. Je relevais la tête vers l'horizon, mes yeux s'écarquillèrent, mes sourciles formèrent une voûte au dessus de mes yeux surpris. Il y avait de quoi, en face de moi se trouvaient sept personne, sept hommes armés, sept hommes habillés en Samurai, comme dans l'ancien temps. Ils me regardaient, j'avais donc le pouvoir de faire réapparaitre des samurais, ils combattraient pour moi? Je souriais, le talent qui avait demeuré en moi était parvenu, les hommes que je voyais, mes hommes étaient habillés tous de la même facon, un tigre doré sur la plastron et l'armure rouge pourpre, couleur sang... Les hommes me fixaient tous, ils avaient la même coiffure au catogan. Mais étaient tous différents malgré toutes ces ressemblance, ils se mirent tous à genoues, l'un après l'autre et ensemble, ils crièrent comme un champs récité:

«Nous sommes à vos ordres, maîte...»

La fatigue reprit le dessus et le bonheur et la joie d'avoir réussis à voir mon Bankai me fit oublier la concentration et les Samurais disparurent dans le vent... Etaient-ce mes ancêtres? Les ancêtres des Tora, mon nom signifiait tigre, pourquoi pas alors... Je rangeais mon Zampakuto, qui avait reprit sa forme large, noire et longue. Les fragments revinrent s'unifier avec le katana que je tenais en main. J'avais toujours cette mine éblouie, incroyable d'avoir vu mes ancêtres devant moi... Je me sentais fin prêt à maitriser le grade de Capitaine, d'affronter des Hollows et tout ce qui est néfaste...

J'étais loin d'avoir finis, je concentrais une nouvelle fois mon énergie spirituelle, faisant a nouveau tourbilloner la poussière qui était répandue sur le sol. Je disparaissais dans la lumière aveuglante et lorsque cette lumière flashante disparut, je me trouvais en position d'attaque, mes sept samurais derrières moi. Je devais le réussir sans arrêt car sinon mon sort serait inévitable, je tomberai au combat et je mourrerais dans la honte. D'un signe de main, et de concentration mes Samurais disparurent dans le vent sifflotant, soulevant et époussetant mes cheveux. Puis avec un aurte signe de main, une porte gigantesque apparut devant moi, j'allais à la chasse aux Hollows. J'attendais qu'un de ces monstres sorte... J'attendais plusieurs minutes, une dizaine en tout, pendant ce temps là, je faisait des pirouettes... De situations de combats qui furent interrompus par l'arrivée d'une dizaine de Hollows, de différentes sortes, ils étaient affreusement grand, derrière le passage du cinquième je refermai sles portes, ca serait suffisant pour voir le niveau qu'avaient mes samurais, ce qu'il pouvaient faire en compagnie d'ennemies. Je concentrais mon énéregie spirituelle, de plus en plus vite récitant une troisième fois la formule suivante:

«Grogne Satsubatsu !»

Dans un coups de vents et de puissance, mon Zampakuto se sépara en huit morceaux, laissant le dernier dans ma main, mon katana noir dans mes deux mains alors que les fragments de mon ancienne lame devenaient et prenaient la forme des samurais, qui étaient mes ancêtres. Ils sourirèrent devant les monstres masqués. Ils se trouvaient à mes côtés, et d'un signe de ma main, je les envoyais au combat direct contre ces monstres... Incroyablement rapide et agiles ces samurais que je pouvais matérialiser, ils se battaient avec précision, force, vitesse, agilité et intelligence. On partagais tous les huit, une liaison spirituelle entre nous. Ce Bankai que je pouvais créer était splendide et redoutable à la fois.

Les Hollows furent vite vaincus. Je félicitais mes Samurais qui étaient mes fragments de lames, redevant fragemnts et revenant s'unifier avec la lame que je tenais dans mes mains jouissantes. Soudain des applaudissement vinrent de derrière moi, je me retournais, mon zampakuto en garde. C'était mon maître, et derrière lui se tenait une dizaine de âmes du Rugonkai... Je souriais, et je pouvais sentir la force, l'énergie que j'avais... J'étais exceptionel, et maintenant j'en prenais confiance. Je retournais accompagné de mon ancien senpai, vers le seireitei, retourner à mon poste, dans mes appartements, le lendemain je rencontrerais ma division. Ca sera génial, mais j'avais tout de même le traque, je le laissais paraître à mon senpai, il me gratifia et me rassura...

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